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« Chère madame, je ne souhaite pas mettre d’avis public, bien que d’autres n’hésitent pas à le faire et je les salue pour cela. Cependant vous pourrez publier celui-ci anonymement car je ne peux plus me contenter de simples remerciements. Je ne peux que saluer le fait de vous avoir rencontrée. Il y a un peu plus d’un an que je fais appel à vous pour le suivi de mes chevaux. Avant, j’ai eu recours à d’autres personnes ayant votre don (je sais que vous n’affectionnez pas ce mot). Pendant longtemps, je n’ai juré que par Madame A. Evans. Puis, on m’a donné celui de …Julie Bussière. Je vous ai appelé et j’ai compris. Dès le 1er appel, avant de prendre rendez-vous, vous m’avez décrit où j’étais et parlé de l’animal et de la personne près de moi…sans me connaître ! J’ai vu les effets de vos séances sur mes chevaux, mes autres animaux et sur mon propre mental car quand vous dites faire un suivi s’en est un vrai, vous ne lâchez rien, ni l’animal ni le cavalier ! Merci pour votre précision, vos ressentis sur les douleurs que l’on ne voit pas, ne soupçonnent pas et qui se sont toujours confirmées, parfois des semaines plus tard. Tout cela en restant à votre place et ne faisant pas de diagnostics. Merci pour votre discrétion, votre générosité, votre pugnacité à rechercher, comprendre, encourager et vous adapter à mes coéquipiers à sabots. Merci de garder les pieds sur terre, de ne pas partir dans des « aventures verbales » ou lubies insensées que l’on entend dans votre milieu.Comme vous le dites, « vous n’y connaissez rien, ne montez pas à cheval et ne comprenez pas comment et pourquoi vous savez et faites tout cela et ça ne fonctionne pas toujours » (mais souvent convenez-en !) … et pourtant vous transcrivez des sensations que seuls le cavalier et sa monture peuvent connaitre et cela dans différentes disciplines, j’en ai eu la preuve ! J’ai aussi eu besoin de vous pour un autre volet de vos « capacités » (comme vous dites), pour une personne décédée et là aussi vous m’avez bluffé et apaisé ! Vous fouillez dans notre cœur avec douceur pour extraire ce que nous n’osons pas toujours nous avouer, toute en délicatesse, mais vous savez aussi insister sur ce qui ne plait pas pour engager une remise en question à dessein. Toujours avec humour et gentillesse. Merci madame.Soyez assurée que je vais continuer à faire appel à vous encore longtemps et espère encore vous emmener, « dans votre tête », (comme vous dites) sur mes prochaines échéances nationales et internationales. «